Suite à un projet de construction et vente de logement de la société Genco Mali SARL, sur son site de 02 hectares sis à SOTUBA, il s’avère, selon des sources, que les clauses du programme de la société Genco Mali SARL sont très claires, les parcelles en titres fonciers ne sont pas susceptibles de vente, mais des maisons construites.
Notre source bien introduite indique qu’effectivement le projet de réalisation et vente de logement était logé chez les notaires Gaoussou et Baba Haidara en qualité de témoins public et qu’effectivement le Géomètre expert Ali Waigalo à travailler avec professionnalisme sur le dit dossier.
Que contre toute attente il y a eu un détournement de l’objectif initial, au lieu de logement conformément à l’esprit du projet, c’est des parcelles qui aurait été vendu, et même que le gérant de la Société Genco Mali SARL aurait décharger des chèques dans le cadre desdites transactions.
Le fait troublant est que notre source indique même que l’un des notaires aurait acquis des parcelles alors qu’il était supposé être le garant de transaction légale dans le cadre du projet initial. Approcher par notre rédaction, les notaires Gaoussou et Baba Haidara, nous disent qu’ils prendront contact avec nous par le biais de leurs avocats.
Plusieurs témoins ont affirmé la droiture du géomètre expert Waigalo, notamment le patriarche de la famille Niambélé, propriétaire des TF 253 et 254 de Kati sis à Banankoro.
En effet, le représentant de la famille Niambélé parle du géomètre comme un homme exemplaire qui a eu à s’occuper du dossier de création de plusieurs centaines de titres fonciers individuels pour eux. Cette confiance notoire a été confirmée par plusieurs notaires, géomètres de la place.
À ce jour, nos investigations n’ont pas donné étant de procédure devant les juridictions dans le cadre de cette affaire. Alors même qu’une publication uniquement à charge sous-entendait une évolution judiciaire impliquant les notaires, les agents des domaines et le Géomètre expert Ali Waigalo.
Affaire à suivre
Sali K. TRAORE
Source: Le Canal