Dans un communiqué rendu publique, le secrétariat général du ministère de l’éducation nationale, s’est prononcé, sur des séries de cas relatif à la violence en milieu scolaire, lors du renouvellement des instances de l’AEEM. Il s’agit notamment des établissements publics de l’éducation nationale, en l’occurrence, le lycée Ba Aminata Diallo (LBAD), le lycée Askia Mohamed, l’ECICA, le lycée Technique de Bamako, le lycée Kalilou Fofana de Bougouni, fin de citation.
Le ministre de l’éducation nationale à travers ledit communiqué, exprime : « Sa vive préoccupation et rappelle que personne ne peut enseigner ou recevoir des enseignements dans un climat de terreur », a-t-il indiqué.
Avant de s’exprimer sur, en ce qui concerne, « la suspension jusqu’à nouvel ordre des activités scolaires l’AEEM au sein des espaces scolaires», notamment, les lycées et autres Etablissement à caractère Publics, le secrétaire général de l’éducation nationale de poursuivre Afin de préserver le personnel d’encadrement et les apprenants d’un tel climat préjudiciable aux apprentissages, le ministre de l’éducation nationale suspend, jusqu’à nouvel ordre, les activités de l’AEEM des établissements de l’Enseignement secondaire », souligne Issoufi Dicko.
Pour rappel, signalons que cette réaction de la part du Secrétaire Général du Ministère de l’Education nationale fait suite, à celle de son homologue de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique. Qui à son tour exprime les mêmes mentions, en ce qui concerne la : « suspension jusqu’à nouvel ordre des activités de l’AEEM dans l’espace universitaires »
Faut-il le faire savoir que ces séries de réactions de la part des deux tutelles du gouvernement Choguel intervient au moment où l’espace scolaire et universitaire fait état de la montée en puissance d’utilisation d’armes à feu, d’affrontements, d’homicide, comme ce fut le cas d d’Ahmed Traoré alias Med Mo, fin de citations.
Hari Moussa Maiga