𝗨𝗻𝗲 𝗼𝗽é𝗿𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗾𝘂𝗶 𝘀𝗲𝗿𝘁 à 𝘀é𝗹𝗲𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗿 𝗹𝗮 𝗯𝗼𝗻𝗻𝗲 𝗻𝗼𝗶𝘅.
Voilà un maillon très intéressant dans la chaîne de transformation du noix de cajou, mais délaissé par : les producteurs, les commerçants, et les transformateurs.
Il s’agit des femmes battantes dont leurs mains sont brûlées par l’acide du noix de cajou quelle tri à longueur de journée à Bougouni, bon nombre de femmes son employée dans cette production et sont rémunéré à 1500 f CFA par jour, beaucoup d’entre elles tombent malade suite aux gaz rejetés par la noix.
Anacardier, un arbre beaucoup cultivé actuellement dans la région de Bougouni. Le noix de cajou entre dans l’alimentation et très bon pour la santé, un bon anti dépresseurs du à sa teneur en vitamine K et les minéraux parfait pour les végétariens.
Pourtant peut d’entre nous connaisses les difficultés que vivent nos mères et sœurs dans les opérations de tri pour les exportateurs qui ne les payent pas assez, un cauchemar pour eux peut-on dire.
Source: BougouniCity (Moussa SANGARÉ Ballay)